Le temps des fiançailles

Savez-vous mon aimée
Ce que j’ai retrouvé dans ma mémoire en disant mes prières
J’ai retrouvé cet air langoureux
Sur lequel vous chantiez sans arrêt
de votre voix de gorge profonde.
C’était un air charmant
Du temps de nos fiançailles
tsouin, tsouin, trala la tsoiun tsouin
Non, c’est un peu trop vite.
tsouin, tsouin, trala la tsoiun tsouin
Vous le chantiez si bien,
Je savais l’écouter…
J’avais alors le cœur musicien comme on dit
Vous l’avez endormi ce muscle
sur lequel reposaient toutes nos espérances.
De trente ans de mariage
Il ne me reste que vous
Et ce tout petit air
et ce n’est pas beaucoup
Enfin…
Laissez le moi chanter, au moins, voulez-vous ?
tsouin, tsouin, trala la tsoiun tsouin
tsouin, tsouin, trala la tsoiun tsouin
Ah. je l’ai oublié.

Ce texte figure dans ces disques :

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.




*