En ce temps de grande paresse
Je connais dans Paris un homme
qui se meurt d’amour
car il aime son prochain, son frère
sans aucun espoir
Il y a encore sur terre
des gens qui ne partagent pas l’indifférence des autres
des uns et des autres
En ce temps de grande paresse
de plaisirs nécessaires
Il n’y a que cela qui importe
la peine de quelques âmes
la peine de quelques âmes
Ce texte figure dans ces disques :
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