A tititre posthume

Quand le poète en temps de guerre…de guerre
contempla la beauté du cosmos étoilé… toilé,
il ne put s’empêcher de verser une larme,
disant au commandant en chef… t’en chef :
regardez, mon commandant, la beauté du monde…

Quand le comman-man-mandant en chef… t’en chef,
regarda fixement la sentinelle en larmes… larmes,
ému, la fit passer aussitôt par les armes,
disant à l’adjudant en chef… t’en chef :
trouvez-moi la raison et soyez bref !

Quand l’adju-dju-djudant-en chef… t’en chef,
se mit à réfléchir sur la raison des larmes… larmes
de frayeur aussitôt, il fit sonner l’alarme.
Alors dans l’ombre l’ennemi s’écria :
ils nous ont vu ! Fuyons… fuyons…

Quand le comman-man-mandant-en chef… t’en chef
décora le poète à tititre posthume… thume,
tous levèrent les yeux au ciel, disant dans leur for intérieur… térieur:
mort pour la beauté du monde.

Ce texte figure dans ces disques :

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.




*