A propos du nouveau site

 

Bienvenue dans le Passage Giani Esposito.

 

Comme vous le constatez, le (seul) site (entièrement) consacré à Giani Esposito a fait peau neuve.

Il était temps. Le site avait été créé en 1997 et réécrit en 2006. Il avait besoin de son ravalement décennal. Voila qui est fait. Et pas seulement un ravalement. Pendant des années il a erré de pages perso en bouts d’hébergement, travail d’amateur oblige. Résultat, quand on tape Giani Esposito dans Google et cie, le site n’est même pas sur la première page ! Délirant pour un site sans pub et entièrement consacré à un artiste. Délire qui en dit long sur la pertinence des moteurs de recherche actuels. Pour -tenter de- corriger cela il fallait que le site se pose à une adresse fixe. C’est l’autre nouveauté de la nouvelle peau. Le “Passage Giani Esposito” va regrouper toutes les ressources sur cet artiste tellement délicat. Cette adresse, passage-giani-esposito.fr, ne changera plus.

Car, assez parlé du passé, voyons l’avenir. Pour sa renaissance, le site a conservé les mêmes ressources qu’avant. Pas de nouveau document. Juste une nouvelle mise en page avec encore des photos parfois de piètre qualité (pour être gentil avec moi-même). Mais aujourd’hui commence une nouvelle phase avec, d’une part, le remplacement des anciennes images par des meilleures (quand il y en a !) et, d’autre part, l’ajout de nouvelles informations.

Bien entendu, tout ça ne se fera pas en un jour. Et vous risquez de tomber pendant quelques temps sur des liens faux, brisés ou sur des erreurs. N’hésitez pas à utiliser le formulaire de contact pour me les signaler ! Il est là pour ça aussi. Et si vous avez d’autres documents ou des liens à suggérer, ils seront les bienvenus.

Cette année devrait enfin voir la sortie du disque de Douchka.

Donc, une année qui devrait permettre de sortir Giani Esposito de la grotte dans laquelle nos grands médias culturels le laissent depuis si longtemps.

Quoi qu’il en soit, merci pour votre visite. J’espère que cette nouvelle formule vous plaira et vous donnera envie de réécouter ou de relire Giani.

Jean-Philippe Carel